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Auteur Irina-Despina Papaikonomou |
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Femmes enceintes et astragales: une sépulture à deux urnes cinéraires d'Amphipolis / Irina-Despina Papaikonomou in Les dossiers d'archéologie, 356 (mars-avril 2013)
[article]
Titre : Femmes enceintes et astragales: une sépulture à deux urnes cinéraires d'Amphipolis Type de document : texte imprimé Auteurs : Irina-Despina Papaikonomou, Auteur ; Dimitra Malamidou, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 32-35 Langues : Français (fre) Catégories : Aire géographique:Europe:Grèce
Période-Civilisation:Antiquité:Grèce
Thématique:Archéologie funéraireMots-clés : sépultures, femmes, enfants, Rich Lady Note de contenu : Le lien entre les sépultures des femmes mortes en couches et des enfants mort-nés est d’habitude invisible dans les nécropoles, car ces enfants ont fait l’objet d’un traitement funéraire à part. Comment distinguer la maternité au sens corporel, social, voire symbolique à partir du matériel archéologique funéraire? La femme enceinte est la seule défunte identifiable avec son propre enfant sans analyse ostéologique. Dans de très rares cas, le dispositif funéraire permet de saisir son statut social et sa relation avec le futur enfant. À la tombe athénienne de la «Rich Lady» datée de l’époque géométrique (vers 850 av. J.-C.), s’ajoute désormais une sépulture d’Amphipolis.
in Les dossiers d'archéologie > 356 (mars-avril 2013) . - 32-35[article] Femmes enceintes et astragales: une sépulture à deux urnes cinéraires d'Amphipolis [texte imprimé] / Irina-Despina Papaikonomou, Auteur ; Dimitra Malamidou, Auteur . - 2013 . - 32-35.
Langues : Français (fre)
in Les dossiers d'archéologie > 356 (mars-avril 2013) . - 32-35
Catégories : Aire géographique:Europe:Grèce
Période-Civilisation:Antiquité:Grèce
Thématique:Archéologie funéraireMots-clés : sépultures, femmes, enfants, Rich Lady Note de contenu : Le lien entre les sépultures des femmes mortes en couches et des enfants mort-nés est d’habitude invisible dans les nécropoles, car ces enfants ont fait l’objet d’un traitement funéraire à part. Comment distinguer la maternité au sens corporel, social, voire symbolique à partir du matériel archéologique funéraire? La femme enceinte est la seule défunte identifiable avec son propre enfant sans analyse ostéologique. Dans de très rares cas, le dispositif funéraire permet de saisir son statut social et sa relation avec le futur enfant. À la tombe athénienne de la «Rich Lady» datée de l’époque géométrique (vers 850 av. J.-C.), s’ajoute désormais une sépulture d’Amphipolis.
Le placenta, un double oublié : métaphore de placenta dans les sanctuaires grecs? / Irina-Despina Papaikonomou in Les dossiers d'archéologie, 356 (mars-avril 2013)
[article]
Titre : Le placenta, un double oublié : métaphore de placenta dans les sanctuaires grecs? Type de document : texte imprimé Auteurs : Irina-Despina Papaikonomou, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-17 Langues : Français (fre) Catégories : Aire géographique:Europe:Grèce
Période-Civilisation:Antiquité:GrèceMots-clés : placenta, bébé Note de contenu : Aucune source écrite antique ne nous informe sur le sort du placenta. Plusieurs sociétés primitives, en Afrique ou en Australie, le considèrent comme le double de l’enfant et l’enterrent, le jettent dans l’eau, voire le consomment pour des raisons rituelles ou médicales (en Chine, en Irlande et aux États-Unis encore actuellement). Comment le percevait-on en Grèce ancienne?
in Les dossiers d'archéologie > 356 (mars-avril 2013) . - 14-17[article] Le placenta, un double oublié : métaphore de placenta dans les sanctuaires grecs? [texte imprimé] / Irina-Despina Papaikonomou, Auteur . - 2013 . - 14-17.
Langues : Français (fre)
in Les dossiers d'archéologie > 356 (mars-avril 2013) . - 14-17
Catégories : Aire géographique:Europe:Grèce
Période-Civilisation:Antiquité:GrèceMots-clés : placenta, bébé Note de contenu : Aucune source écrite antique ne nous informe sur le sort du placenta. Plusieurs sociétés primitives, en Afrique ou en Australie, le considèrent comme le double de l’enfant et l’enterrent, le jettent dans l’eau, voire le consomment pour des raisons rituelles ou médicales (en Chine, en Irlande et aux États-Unis encore actuellement). Comment le percevait-on en Grèce ancienne?