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[article]
Titre : Dans le labyrinthe du roi Minos Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Faure, Auteur Année de publication : 1996 Article en page(s) : p.46 à 49 Langues : Français (fre) Catégories : Lieux:Entités du passé:Monde antique Résumé : Pendant plus de deux mille ans, des cavernes initiatiques, ensemble de galeries au parcours compliqué, ont servi en Crète de lieu de culte. Celle de Skotino, près de Knossos, était-elle considérée, dans l'Antiquité, comme ayant abrité l'affrontement légendaire de Thésée et du Minotaure ? C'est, au terme de nombreuses recherches qu'il a effectuées sur le terrain, l'hypothèse de 1'helléniste
Depuis au moins 3 000 ans, les poètes célèbrent les aventures d'un jeune prince athénien, Thésée, qui conduisit en Crète sept garçons et sept filles destinés à être dévorés par le Minotaure. Celui-ci était le fruit monstrueux, mi-homme, mi-taureau, des amours de la reine Pasiphaé et d'un taureau divin. Le roi Minos, désireux de cacher à tous la faute de sa femme, l'avait fait enfermer au fond d'un labyrinthe construit par l'architecte Dédale. Guidé par la princesse Ariadne qui l'accompagnait en déroulant une pelote de fil, Thésée aurait évité les embûches du Labyrinthe, vaincu le monstre et sauvé les enfants. Puis, enlevant Ariadne et l'abandonnant dans l'île de Dia, il aurait regagné le port de Phalère, au sud d'Athènes.
in L'histoire > N° 197 (Mars 1996) . - p.46 à 49[article] Dans le labyrinthe du roi Minos [texte imprimé] / Paul Faure, Auteur . - 1996 . - p.46 à 49.
Langues : Français (fre)
in L'histoire > N° 197 (Mars 1996) . - p.46 à 49
Catégories : Lieux:Entités du passé:Monde antique Résumé : Pendant plus de deux mille ans, des cavernes initiatiques, ensemble de galeries au parcours compliqué, ont servi en Crète de lieu de culte. Celle de Skotino, près de Knossos, était-elle considérée, dans l'Antiquité, comme ayant abrité l'affrontement légendaire de Thésée et du Minotaure ? C'est, au terme de nombreuses recherches qu'il a effectuées sur le terrain, l'hypothèse de 1'helléniste
Depuis au moins 3 000 ans, les poètes célèbrent les aventures d'un jeune prince athénien, Thésée, qui conduisit en Crète sept garçons et sept filles destinés à être dévorés par le Minotaure. Celui-ci était le fruit monstrueux, mi-homme, mi-taureau, des amours de la reine Pasiphaé et d'un taureau divin. Le roi Minos, désireux de cacher à tous la faute de sa femme, l'avait fait enfermer au fond d'un labyrinthe construit par l'architecte Dédale. Guidé par la princesse Ariadne qui l'accompagnait en déroulant une pelote de fil, Thésée aurait évité les embûches du Labyrinthe, vaincu le monstre et sauvé les enfants. Puis, enlevant Ariadne et l'abandonnant dans l'île de Dia, il aurait regagné le port de Phalère, au sud d'Athènes.
[article]
Titre : La "Dolce Vita" à Pompéi Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Croisille, Auteur Année de publication : 1986 Article en page(s) : p.50 à 58 Langues : Français (fre) Catégories : Lieux:Entités du passé:Monde antique:Monde romain:Italie romaine Résumé :
Derrière l'inestimable ensemble de monuments, d'habitations et d'œuvres d'art révélés par les fouilles archéologiques depuis deux siècles, Jean-Michel Croisille saisit la vie quotidienne des habitants de Pompéi. Avant que le ciel punisse la cité radieuse de Campanie en l'ensevelissant sous les cendres le 24 août 79.
Au premier siècle avant notre ère naquit, peut-être à Pompéi, le poète et philosophe Lucrèce (vers 98-55 av. J.-C). Fidèle à la doctrine de son maître Épicure, il prétendait que l'unique but de l'homme devait être la recherche du plaisir le plus grand possible. Cette doctrine a suscité des controverses passionnées entre les philosophes. Si Lucrèce était pompéien, le spectacle enchanteur de la baie de Naples, la richesse d'une terre féconde, la présence d'un soleil radieux, la douceur du climat et la beauté nonchalante des habitants ont sans doute été pour quelque chose dans cette doctrine. Mais faut-il entendre le plaisir au sens vulgaire de « jouissance physique par satisfaction corporelle » ou en un sens plus profond ? La satiété obtenue par l'assouvissement des instincts suffit-elle ? La dolce vita n'engendre-t-elle pas mélancolie et désespoir ?Note de contenu :
in L'histoire > N° 94 (Novembre 1986) . - p.50 à 58[article] La "Dolce Vita" à Pompéi [texte imprimé] / Jean-Michel Croisille, Auteur . - 1986 . - p.50 à 58.
Langues : Français (fre)
in L'histoire > N° 94 (Novembre 1986) . - p.50 à 58
Catégories : Lieux:Entités du passé:Monde antique:Monde romain:Italie romaine Résumé :
Derrière l'inestimable ensemble de monuments, d'habitations et d'œuvres d'art révélés par les fouilles archéologiques depuis deux siècles, Jean-Michel Croisille saisit la vie quotidienne des habitants de Pompéi. Avant que le ciel punisse la cité radieuse de Campanie en l'ensevelissant sous les cendres le 24 août 79.
Au premier siècle avant notre ère naquit, peut-être à Pompéi, le poète et philosophe Lucrèce (vers 98-55 av. J.-C). Fidèle à la doctrine de son maître Épicure, il prétendait que l'unique but de l'homme devait être la recherche du plaisir le plus grand possible. Cette doctrine a suscité des controverses passionnées entre les philosophes. Si Lucrèce était pompéien, le spectacle enchanteur de la baie de Naples, la richesse d'une terre féconde, la présence d'un soleil radieux, la douceur du climat et la beauté nonchalante des habitants ont sans doute été pour quelque chose dans cette doctrine. Mais faut-il entendre le plaisir au sens vulgaire de « jouissance physique par satisfaction corporelle » ou en un sens plus profond ? La satiété obtenue par l'assouvissement des instincts suffit-elle ? La dolce vita n'engendre-t-elle pas mélancolie et désespoir ?Note de contenu :
N°75 - Décembre 2004 - Janvier 2005 - L'enfant en Gaule et dans l'Empire romain (Bulletin de L'archéologue archéologie nouvelle)
[n° ou bulletin]
Titre : N°75 - Décembre 2004 - Janvier 2005 - L'enfant en Gaule et dans l'Empire romain Type de document : texte imprimé Année de publication : 2004 Importance : 1 vol. (66 p.) Présentation : ill. Format : 29 cm Langues : Français (fre) Catégories : Lieux:Entités du passé:Monde antique:Monde romain
Lieux:Entités du passé:Monde antique:Monde romain:Gaule[n° ou bulletin] N°75 - Décembre 2004 - Janvier 2005 - L'enfant en Gaule et dans l'Empire romain [texte imprimé] . - 2004 . - 1 vol. (66 p.) : ill. ; 29 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Lieux:Entités du passé:Monde antique:Monde romain
Lieux:Entités du passé:Monde antique:Monde romain:GauleExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7623 ARN 075 Périodique Bibliothèque Périodiques Exclu du prêt
[article]
Titre : Les mystères de la villa des Papyrus Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Croisille, Auteur Année de publication : 1991 Article en page(s) : p. 102 à 109 Langues : Français (fre) Catégories : Lieux:Entités du passé:Monde antique:Monde romain:Italie romaine Résumé :
La villa des Papyrus était un de ces lieux romains de rêve anéantis par l'éruption du Vésuve, il y a presque deux mille ans. Cette demeure somptueusement décorée a été fouillée entre 1750 et 1765. On a retrouvé une partie de son immense bibliothèque, des sculptures et des fragments de peintures. Elle accueillait vraisemblablement des épicuriens venus méditer au calme, face à la baie de Naples.
JTrès de Naples, entre 1750 et 1765, sous le règne de Charles III de Bourbon, roi des Deux-Siciles, on a fouillé une des plus belles villas antiques du littoral campa-nien, une de celles que le Vésuve a englouties en même temps que Pompéi, Herculanum et Stabies, en l'an 79 de notre ère. Cette demeure s'étendait à l'ouest d'Herculanum, parallèlement à la côte qu'elle surplombait sur un front d'environ 250 mètres. Exécutées grâce à des puits et des galeries creusés dans le tuf - provenant d'une coulée de lave -, les fouilles furent interrompues après 1765. On reboucha les galeries. Seuls subsistent les comptes rendus des fouilleurs, un ensemble inestimable de sculptures et le contenu d'une bibliothèque constituée de rouleaux de papyrus, hélas ! partiellement carbonisés.
in L'histoire > N° 143 (Avril 1991) . - p. 102 à 109[article] Les mystères de la villa des Papyrus [texte imprimé] / Jean-Michel Croisille, Auteur . - 1991 . - p. 102 à 109.
Langues : Français (fre)
in L'histoire > N° 143 (Avril 1991) . - p. 102 à 109
Catégories : Lieux:Entités du passé:Monde antique:Monde romain:Italie romaine Résumé :
La villa des Papyrus était un de ces lieux romains de rêve anéantis par l'éruption du Vésuve, il y a presque deux mille ans. Cette demeure somptueusement décorée a été fouillée entre 1750 et 1765. On a retrouvé une partie de son immense bibliothèque, des sculptures et des fragments de peintures. Elle accueillait vraisemblablement des épicuriens venus méditer au calme, face à la baie de Naples.
JTrès de Naples, entre 1750 et 1765, sous le règne de Charles III de Bourbon, roi des Deux-Siciles, on a fouillé une des plus belles villas antiques du littoral campa-nien, une de celles que le Vésuve a englouties en même temps que Pompéi, Herculanum et Stabies, en l'an 79 de notre ère. Cette demeure s'étendait à l'ouest d'Herculanum, parallèlement à la côte qu'elle surplombait sur un front d'environ 250 mètres. Exécutées grâce à des puits et des galeries creusés dans le tuf - provenant d'une coulée de lave -, les fouilles furent interrompues après 1765. On reboucha les galeries. Seuls subsistent les comptes rendus des fouilleurs, un ensemble inestimable de sculptures et le contenu d'une bibliothèque constituée de rouleaux de papyrus, hélas ! partiellement carbonisés.Les phéniciens ont-ils découvert l'Amérique ? / Françoise Briquel-Chatonnet in L'histoire, N° 114 (Septembre 1988)
[article]
Titre : Les phéniciens ont-ils découvert l'Amérique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise Briquel-Chatonnet, Auteur Année de publication : 1988 Article en page(s) : p. 90 à 92 Langues : Français (fre) Catégories : Lieux:Entités du passé:Monde antique Résumé :
«Les Phéniciens» à Venise... Rien d'étonnant si la prestigieuse cité maritime accueille cette grande exposition*. Venise n'est-elle pas l'héritière la plus fidèle des hardis découvreurs phéniciens ? Leur audace sur les mers fut telle qu'on a même supposé qu'ils avaient atteint l'Amérique!
Les Phéniciens ont-ils découvert l'Amérique ? C'est la question que l'on s'est posée en 1873, quand a été révélé le texte d'une inscription phénicienne qui aurait été découverte à Paraïba, au Brésil. Elle relate les aventures présumées de l'équipage d'un bateau phénicien qui, parti de la mer Rouge avec toute une flotte, et après avoir contourné l'Afrique, aurait dérivé, seul, vers le Brésil.
Aventure extraordinaire, mais, malheureusement, imaginaire : personne n'a jamais vu cette inscription, dont seule une « copie » a été divulguée. L'auteur de la découverte est d'ailleurs resté anonyme. Quant au texte, il semble être un condensé des connaissances que l'on avait sur les Phéniciens dans la seconde moitié du XIXe siècle : leurs relations avec Israël, le sacrifice des enfants, etc. La forme des lettres elle-même s'inspire des tableaux paléographiques qui venaient d'être publiés. Aussi doit-on tenir cette inscription pour un faux.
in L'histoire > N° 114 (Septembre 1988) . - p. 90 à 92[article] Les phéniciens ont-ils découvert l'Amérique ? [texte imprimé] / Françoise Briquel-Chatonnet, Auteur . - 1988 . - p. 90 à 92.
Langues : Français (fre)
in L'histoire > N° 114 (Septembre 1988) . - p. 90 à 92
Catégories : Lieux:Entités du passé:Monde antique Résumé :
«Les Phéniciens» à Venise... Rien d'étonnant si la prestigieuse cité maritime accueille cette grande exposition*. Venise n'est-elle pas l'héritière la plus fidèle des hardis découvreurs phéniciens ? Leur audace sur les mers fut telle qu'on a même supposé qu'ils avaient atteint l'Amérique!
Les Phéniciens ont-ils découvert l'Amérique ? C'est la question que l'on s'est posée en 1873, quand a été révélé le texte d'une inscription phénicienne qui aurait été découverte à Paraïba, au Brésil. Elle relate les aventures présumées de l'équipage d'un bateau phénicien qui, parti de la mer Rouge avec toute une flotte, et après avoir contourné l'Afrique, aurait dérivé, seul, vers le Brésil.
Aventure extraordinaire, mais, malheureusement, imaginaire : personne n'a jamais vu cette inscription, dont seule une « copie » a été divulguée. L'auteur de la découverte est d'ailleurs resté anonyme. Quant au texte, il semble être un condensé des connaissances que l'on avait sur les Phéniciens dans la seconde moitié du XIXe siècle : leurs relations avec Israël, le sacrifice des enfants, etc. La forme des lettres elle-même s'inspire des tableaux paléographiques qui venaient d'être publiés. Aussi doit-on tenir cette inscription pour un faux.N°71 - Avril-Mai 2004 - Les ports de la Rome antique Osties et le Portus (Bulletin de L'archéologue archéologie nouvelle)
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