Dépouillements

La prise de Samarcande par Gengis-Khan / Frantz Grenet in L'histoire, N° 149 (Novembre 1991)

Public ISBD [article]  inL'histoire > N° 149 (Novembre 1991) . - p. 8 à 14 Titre : La prise de Samarcande par Gengis-Khan Type de document : texte imprimé Auteurs : Frantz Grenet, Auteur ; Mohammedjân Isamiddinov, Auteur Année de publication : 1991 Article en page(s) : p. 8 à 14 Langues : Français (fre) Catégories : Lieux:Entités actuelles:Proche-Orient Moyen-Orient:Turquie Résumé : En 1220, Gengis-khan s'empare de Samarcande, après un siège terrible qui a beaucoup contribué à la sinistre réputation des cavaliers mongols. L'orgueilleuse cité de la route de la soie ne s'en releva qu 'au prix d'un changement de site. Aujourd'hui, l'archéologie nous montre que cette défaite ne fit que précipiter un déclin que la géographie rendait inéluctable. LÅ“ur d'une riche région agricole, puis principal nÅ“ud commercial de la route de la soie, la cité de Samarcande, capitale de la Sogdiane (cf. carte, p. Il), n'a jamais cessé de susciter les convoitises, depuis sa fondation par les Perses aché-ménides au VIe siècle av. J.-C. [article] La prise de Samarcande par Gengis-Khan [texte imprimé] / Frantz Grenet, Auteur ; Mohammedjân Isamiddinov, Auteur . - 1991 . - p. 8 à 14. Langues : Français (fre) in L'histoire > N° 149 (Novembre 1991) . - p. 8 à 14 Catégories : Lieux:Entités actuelles:Proche-Orient Moyen-Orient:Turquie Résumé : En 1220, Gengis-khan s'empare de Samarcande, après un siège terrible qui a beaucoup contribué à la sinistre réputation des cavaliers mongols. L'orgueilleuse cité de la route de la soie ne s'en releva qu 'au prix d'un changement de site. Aujourd'hui, l'archéologie nous montre que cette défaite ne fit que précipiter un déclin que la géographie rendait inéluctable. LÅ“ur d'une riche région agricole, puis principal nÅ“ud commercial de la route de la soie, la cité de Samarcande, capitale de la Sogdiane (cf. carte, p. Il), n'a jamais cessé de susciter les convoitises, depuis sa fondation par les Perses aché-ménides au VIe siècle av. J.-C.